Les non-dits, maîtres silencieux de nos destins
Mots clés décroisés par Roger Avau, le 11 janvier 2017
Photo © Roger Avau
– Après une année bâclée par un misérable amateur, espérons que 2017 aura été consciencieusement conçue par un maître d’œuvre.
– couchée sur velin
la poésie
à en dormir (Jean Emile Collon)
– Mort sur le coup, l’homme avait déjà été victime d’un accident identique en 2014.
– Je me sentais vieille. Je me suis dit que lorsque j’aurais l’âge de ma grand-mère, je me sentirais sans doute jeune parce que j’aurais déjà été vieille dans ma jeunesse. (Julianna Baggott)
– L’ennui avec les hommes politiques, c’est qu’on croit faire leur caricature alors qu’on fait leur portrait. (Jean Sennep)
– Informatique : Alliance d’une science inexacte et d’une activité humaine faillible. (Luc Fayard)
– Le dernier refuge contre les téléphones portables : les cabines téléphoniques.
– Quand on est corbeau et qu’on vit parmi les corbeaux, il vaut mieux avoir un plumage noir plutôt que blanc. (Lao She)
– La timidité est la prison du cœur. (Proverbe espagnol)
– Noël est un mensonge qui réunit les familles autour d’un arbre mort recouvert de lumières, un mensonge tissé de conversations insipides, enfoui sous des kilos de crème au beurre. (Delphine de Vigan)
– Merde n’est pas un nom propre.
– Le Dieu, combien j’aurais aimé lui obéir en tout s’il ne m’avait rien défendu. (Luc Estang)
– Quand tu te mouches t’as pas l’impression de serrer la main à un pote ? (Jean Poiret)
– L’hilarité d’une personne est inversement proportionnelle à son temps de compréhension.
– trop de mots aujourd’hui ne répondent plus à l’appel (Louis Savary)
– La nuit, il se commet plus de crimes sur le papier qu’il ne s’en produit en vrai. (Bernard Pivot)
– À mon corps défendant, je n’ai pas osé l’embrasser.
– La promesse d’être avec quelqu’un m’a toujours rendu plus heureux que son effective présence. (Yann Moix)
– Rester jeune c’est se regarder tous les matins dans un miroir ébréché, pour se persuader que c’est lui qui a des rides. (Patrick Sébastien)
– On peut vivre pour un idéal, on ne saurait en vivre.
– L’orgasme est un paroxysme ; le désespoir aussi. L’un dure un instant ; l’autre, une vie. (Emil Cioran)
– Les aveugles croient toujours que leur première impression est la bonne.
– Je ne prendrai pas de calendrier cette année, car j’ai été très mécontent de celui de l’année dernière. (Alphonse Allais)
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