Merci à Twitter de remettre la forme brève au goût du jour et de laisser les digressifs et les épistoliers langoureux loin derrière. (fadebiaye)
Il a un bon fond ; je dirais même un double fond.
Les articles de Mots clés décroisés
Merci à Twitter de remettre la forme brève au goût du jour et de laisser les digressifs et les épistoliers langoureux loin derrière. (fadebiaye)
Il a un bon fond ; je dirais même un double fond.
Je suis faite pour être heureuse avec un homme. (Barbara Louys)
Je crois qu’il n’y a pas de lumière en ce monde, sinon ce monde. Et je crois qu’il y a de la lumière. (George Oppen)
Seul, on n’a pas de souvenirs.
– Club Med : des crèches pour adultes. (Françoise Mallet-Joris)
– Nous sommes de moins en moins au courant ce que nous ignorons.
– Peut-être, de ma vie au Japon, ai-je appris à ne pas perdre la face, à user de l’indifférence comme stratégie de survie. (Amélie Nothomb)
– Un trait d’union est un banc pour déclarer sa flamme.
– Cherche optimiste, même d’occasion.
– Feindre de croire un mensonge est un mensonge exquis. (Maurice Chapelan)
– Les pauvres sont plus souvent volés que les riches. C’est pour cela qu’ils sont pauvres.
– Ma patrie est une valise, ma valise, ma patrie (Mahmoud Darwich)
– Le vide est plein. (Trinh Xuan Thuan)
– L’expression la plus élégante, c’est « disponibilité ». (fadebiaye)
– Je rigole face au danger, ensuite je cherche un abri pour me cacher.
– je me réfugie / dans le labyrinthe des mots / pour récupérer / mon image première (Louis Savary)
– Si j’étais une femme je m’épouserai (Joann Sfar)
– Chaque siècle a son Moyen Âge. (Stanislaw Jerzy Lec)
– L’indulgence ne pardonne pas. (Louis Huwart)
– On a tous droits à ses démons.
– J’adore vieillir. (Sophie Marceau)
– Pour rester jeune, il suffit de ne pas prendre le temps de vieillir. (Jean Bauwin)
– Bob Dylan a donné un cerveau à la musique grâce à ses textes. (Astrid/Edilivre)
– Ce n’est pas que les mots ne parlent pas, c’est que nous avons perdu l’habitude de les écouter. (Katherine Pancol)
– À force de déterrer le passé, on finit par enterrer le présent.
– La déception est un acte d’amour : elle rend fidèle. (Frédéric Beigbeder)
– Il était heureux comme ça, à traverser la vie sans même essayer de la comprendre. (Bernard Werber)
– Les hommes forts n’ont pas besoin de rabaisser les femmes pour se sentir puissants. (Michelle Obama)
– Il faut toujours écouter ce que la majorité silencieuse pense.
– Un désastre capillaire s’abat sur le monde. (Édouard Baer)
– À force de sacrifier l’essentiel à l’urgence, on finit par oublier l’urgence de l’essentiel. (Edgar Morin)
– Le sage ne cherche pas à se venger de ses ennemis ; il laisse ce soin à la vie…
– L’effort, c’est quand un rien-du-tout se prend pour un pas-grand-chose. (Paul Verhertbrugghen)
– Demain m’est-il, peut-il vraiment m’être et être vraiment demain ? (Stéphane Julien)
– Sans doute faut-il beaucoup de maîtrise et d’abandon pour oser la simplicité. (Eric-Emmanuel Schmitt)
– Il faut savoir choisir ses lecteurs. (Jacques Canut)
– L’âge apporte aussi une certaine paix. Nous n’avons plus rien à prouver. (Tamara McKinley)
– Aujourd’hui je glande et procrastine. (Jean-François Robic)
– On peut être universel et sans âge, tout en étant très ancré dans le contemporain. (David Cronenberg)
– Le stress n’est que la soumission avouée à des contraintes non choisies. (Grégoire Lacroix)