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Vents sur vagues
Vagues sur peau
Vents sur sable
Grains sur peau
Traversée
En équilibre simple
Une pudeur
De l’interdit
C’est tout
Gina dit la vérité
Cette lointaine ligne
Imperceptible
À portée de main
La vérité
Cette belle obstination
Loin des regards
Cette peur de l’amour
Quand la sueur nous découvre
Cet enfantillage
Comme jamais
La vérité
Quelques phrases abandonnées
Sur la buée d’un miroir
Je ne sais pas, moi
Dire la vérité
Regard fuyant
Dans le temps éloigné
Jerry n’hésite pas
Rien à cacher
Juste toucher
En force légère
En bombe glacée
Un sourire dans la pénombre
Une falaise qui s’effondre
Quand Jerry dit soudain
Une vérité
Qui raconte toutes choses
Les tombeaux sont ouverts
Les peines sont capitales
Des monstres rongent la glace
Une bourgeoise choisit la burka
Dans le vestiaire des déguisements
Elle court écraser l’infâme
En piste pour l’imitation
Généralisée
Elle secoue les paroles sacrées
Projetées
En explosions rouge sang
Je ne sais pas, moi
Dire la vérité
Une faible lueur
Une fleur fanée
Dans un verre vide
Un corps torturé
Endormi
Dominique, les lèvres brûlées
Se lève d’un bond
Dans la rue, une sirène siffle
Comme un vent mauvais
Dominique
Visage aimé jouant
Dans une scène mythologique
Grand jeu de substances mortelles
Et de la joie devenue rage
Dominique allume
Mille pensées
Fières et libres
Dans un coin de son crâne
Vents sur vagues
Vagues sur peau
Vents sur sable
Grains sur peau
Traversée
En équilibre simple
De l’interdit
Des vérités
C’est tout

La chance est un dieu qui tourne
Le hasard, le maître-architecte
Fait irruption
Pour détruire ou créer
Jim doute enfin
L'esprit effleuré
Par la mémoire des chemins non suivis
Honte, colère, peur
Jim en a assez
Son temps est compté
La chance est un dieu qui tourne
Le hasard, le maître-architecte
Qui fait irruption
Pour détruire ou créer
Après Jim oublie l'inquiétante lueur de la nuit
Ses anciennes croyances
Les enfumages des simulateurs de vol
Il est une émotion oubliée
Dans un lieu véritable
Enfin
Son temps compte
Son air est libre
Entre le bien et le mal
La chance est un dieu qui tourne
Le hasard, le maître-architecte
Qui fait irruption
Pour détruire ou créer
A la place de rien
Fromont, 2016
Au fil de la toile
&

La chance est un dieu qui tourne
Le hasard, le maître-architecte
Fait irruption
Pour détruire ou créer
Jim doute enfin
L'esprit effleuré
Par la mémoire des chemins non suivis
Honte, colère, peur
Jim en a assez
Son temps est compté
La chance est un dieu qui tourne
Le hasard, le maître-architecte
Qui fait irruption
Pour détruire ou créer
Après Jim oublie l'inquiétante lueur de la nuit
Ses anciennes croyances
Les enfumages des simulateurs de vol
Il est une émotion oubliée
Dans un lieu véritable
Enfin
Son temps compte
Son air est libre
Entre le bien et le mal
La chance est un dieu qui tourne
Le hasard, le maître-architecte
Qui fait irruption
Pour détruire ou créer
A la place de rien
Fromont, 2016
Du même auteur

Vents sur vagues
Vagues sur peau
Vents sur sable
Grains sur peau
Traversée
En équilibre simple
Une pudeur
De l’interdit
C’est tout
Gina dit la vérité
Cette lointaine ligne
Imperceptible
À portée de main
La vérité
Cette belle obstination
Loin des regards
Cette peur de l’amour
Quand la sueur nous découvre
Cet enfantillage
Comme jamais
La vérité
Quelques phrases abandonnées
Sur la buée d’un miroir
Je ne sais pas, moi
Dire la vérité
Regard fuyant
Dans le temps éloigné
Jerry n’hésite pas
Rien à cacher
Juste toucher
En force légère
En bombe glacée
Un sourire dans la pénombre
Une falaise qui s’effondre
Quand Jerry dit soudain
Une vérité
Qui raconte toutes choses
Les tombeaux sont ouverts
Les peines sont capitales
Des monstres rongent la glace
Une bourgeoise choisit la burka
Dans le vestiaire des déguisements
Elle court écraser l’infâme
En piste pour l’imitation
Généralisée
Elle secoue les paroles sacrées
Projetées
En explosions rouge sang
Je ne sais pas, moi
Dire la vérité
Une faible lueur
Une fleur fanée
Dans un verre vide
Un corps torturé
Endormi
Dominique, les lèvres brûlées
Se lève d’un bond
Dans la rue, une sirène siffle
Comme un vent mauvais
Dominique
Visage aimé jouant
Dans une scène mythologique
Grand jeu de substances mortelles
Et de la joie devenue rage
Dominique allume
Mille pensées
Fières et libres
Dans un coin de son crâne
Vents sur vagues
Vagues sur peau
Vents sur sable
Grains sur peau
Traversée
En équilibre simple
De l’interdit
Des vérités
C’est tout

La chance est un dieu qui tourne
Le hasard, le maître-architecte
Fait irruption
Pour détruire ou créer
Jim doute enfin
L'esprit effleuré
Par la mémoire des chemins non suivis
Honte, colère, peur
Jim en a assez
Son temps est compté
La chance est un dieu qui tourne
Le hasard, le maître-architecte
Qui fait irruption
Pour détruire ou créer
Après Jim oublie l'inquiétante lueur de la nuit
Ses anciennes croyances
Les enfumages des simulateurs de vol
Il est une émotion oubliée
Dans un lieu véritable
Enfin
Son temps compte
Son air est libre
Entre le bien et le mal
La chance est un dieu qui tourne
Le hasard, le maître-architecte
Qui fait irruption
Pour détruire ou créer
A la place de rien
Fromont, 2016

Un silence de mort
Dans un environnement bleu nuit
Une ébauche de théorie
Et tous les coups sont permis
Un rêve non assouvi
Et voilà l'hérésie
Partout
Ce soir de grand oral
Les langues de vipère
Sucent les bonnes résolutions
Et apaisent les désirs
De faits et gestes
Fromont, 2016

Angelo joue la victime
Angela le console
Le fleuve est sur ses rives
Le bruit du fond de l'eau
Et le bruit du fond de l'air
Ne sont qu'ombre
Plus sombre que la nuit noire
Que lave la pluie incessante
Et les types trempés, perdus
Au centre du fleuve
Voyagent à l'aveugle
Sur les caprices du courant
Les yeux au ciel disparu
Ils entendent la plainte d'une seule feuille
Là, dans le verger immergé
Ils entendent
Les eaux battantes
Le vent égaré
Le ciel qui cogne les vagues
Le bruit du fond de l'eau
Et le bruit du fond de l'air
Ne sont qu'ombre
Plus sombre que la nuit noire
Angela pleure
Angelo s'est noyé
Fromont, 2017

Jean complote
Pierre théorise
L'angle d'attaque est différent
Et tout est noir
Magali
Saisie au vol
Sur la crête d'une vague
Se contente de remettre à plus tard
Seules
Ses peurs l'informent
Sur la suite des événements
Pour elle
Pierre et Jean
Sont des énigmes
Ils ne promènent plus leur chien
Fromont, 2015

Les paysages s’évanouissent
En moelleux tremblements
Une vapeur sauvage
Sort de la vie
En fragments
D’émotions
Noires
Laurence sort du lot
Les mains vides
Elle fredonne
Des paroles inaudibles
Si modernes
Ce jour-là
Il pleuvait tant
Qu’elle voyait sur le paysage
Voguer l’arche de Noé
Les animaux la fixaient
Un loup blanc hurlait
Laurence est sortie du lot
En état second
Là où volent
Les nuages flous
Là où flotte
L’impénétrable odeur
Des livres
Une nuit sans étoile
Nous écrase
Charles trépigne
Sous les huées
Arrive la haine
La brutalité
Derrière chaque écran
Charles se signe
Dans un roulement sourd
Un homme meurt
Devant la foule
En attente
De l’inattendu
Tout était prêt, pourtant,
Dans la lueur des projecteurs
Un coup sec
Une avalanche
Et le soleil, partout
Trop
Longtemps
Nu, sous un ciel absent,
Ugo dit les formules
Magiques
Explore toutes visions
Pour que l’herbe pousse
Pour maîtriser les feux
Pour mettre à l’ombre les guerriers
Il s’endort
Dans un ricanement aigu
L’esprit bloqué
Par les tristes sorts
Le monde en deux camps
À l’arrêt
Les multiplications
Les beaux mélanges
Malins plaisirs
De l’apesanteur
La distance est forcée
Dès la case départ
Prise des corps
À cœur ouvert
Aucun secret
Un même malheur
Virginie hume
L’impénétrable odeur des livres
La teinte d’or vif
Retrousse les manches
Sort les griffes
Et court à contre sens
Vers la source lumineuse
Sous les nuages flous

Rien vu venir
L’expérience est inutile
L’homme de l’ombre
Squatte l’arrière-salle
Rien vu venir
Le sol est dur
Le plafond bas
L’orage passe
L’ange fait chou blanc
Rien vu venir
Ces gens
Profitent
De la démence ambiante
Se font la courte échelle
En bande organisée
Rien vu venir
Pas de quartier
En mille morceaux
L’ancienne gloire
Le plafond est bas
L’orage passe sur l’ange
Rien vu venir
Le sol est dur
Fromont, 2011